les désastreuse aventure d'un noble orphelin

Je m’en souviens encore très bien, du jours de ma naissance. Dans ces quelque passage, je vais tenté de vous faire comprendre se qu’a vécus un dragon oublier de tous. Même si je doute que quelqu’un trouve se récit intéressent.

C’était un jours d’automne, de grand vent soufflait sur les plaines des atlawa. Oui c’était l’automne, les feuille était rousse dans les rares arbres qui poussais a cette altitude. Et un grand vent soufflais sur le pique ou mon œuf avais été abandonné. Par qui et pour quel raison, je l’ignore, mais revenons a mon éclosion. Sur un pique isolé entouré de feuille morte, un petit œuf d’une couleurs azuré éclot. De cette œufs sort un dragonnet, qui comme tous se m’est a pleuré a sa naissance, mais personne viens, alors il se tût. Un dragonneau qui a pour seul exemple le vents, le vent qui soufflais violemment a se moment la. se petit dragonneau était moi, je ne voyais rien d’autres que des décor, rien ne bougeais si se n’est se vent qui soufflais très fort. J’ai essayé de me levé, exploré les alentour, trouvé mes parents. Mais je tombais encore et encore, incapable de marché. C’était la fin de journée, la nuit tomba rapidement, j’ai essayé de me caché, en tirant mes morceau de coquille sur moi, j’était terrorisé, et si seul . j’ai bien crue, que j’allais déjà rejoindre les ancêtre. La nuit passa, et je n’avais pas dormit, et j’avais atrocement faim, mais personne a appeler, personne sur qui compté. J’essaye a nouveau de me levé, et par miracle, je réussit a faire trois pas avant de m’écroulé épuisé par la faim. Je sentais mes dernier force me quitté, et le murmure du vent si apaisants, comme disant « endort toi » et c’est se que je fut. Se que j’apprit plus tard, c’est que grâce a sa, un atlawa timide qui m’avais vu a mon éclosion osa enfin sortir de sa cachette et m’amena a sa tribut. La bas, je reçus les premier soin, et on me nourris, pour que je reprenne des forces, se fut chez eux que j’apprit a parlé, marché, et chassé. Mais tout le temps il me le rappelais, que je n’était pas comme eux, mais membres de leurs tribu. Quand j’eu l’âge de raison, envieront sept ans, que je savais pleinement mes capacité. Je fut guidé par mon instinct, qui me dit de partir, non pas mon instinct, encore le vents, se même vent qui me disais de suivre la route qui se traçais devant moi. J’ai demandez au chef des atlawa, Kane, de me dire ou se trouvais la plus grosse concentration d’être qui me ressemblais. Il ne dit rien, car étant un dragon, je pourrais lui être utile, protégé sa tribu. Mais je ne pouvais resté en place, surtout que je ne m’habituais pas au climat du lieux, et supportais de moins en moins la nourriture. Voyant la dégradation de mon état accéléré par une déprime, il me donna une carte, traçant une route vers Warfang. A se moment la donc, commença un long voyage qui allais me mené a peut-être une es plus grosse erreur de ma vie…

Je descendit donc des hautes montagne de mon peuple d’adoption, suivant des chemins tracé par les atlawa, je descendit la montagne sans accident notable. Si se n’est mon habituel maladresse, qui fait de moi un bien piètre chasseur de hautes montagne. On me l’avais souvent reproché, je ne suis pas assez souple encore, trop dans mon craquant, trop refermé sur moi même. Une fois en bas de la montagne, une ordre de mystérieuse créature, m’attaqua, c’était des grand singe éclaireur, essayant de repéré des points d’infiltration vers mon peuple d’adoption. Terrorisé, car oui j’était trouillard a l’époque, je me pensé déjà mort, quand je me sentie en transe, et a se moment, plus rien. Je me suis juste réveillé quelque seconde plus tard, les corps des grand singe tailladé atrocement, des lame d’une telle finesse qu’elle avais découpé au travers de l’armure avec précision, en faite, je me suis rendus compte peux après qu’il restais une de ces lame autour d’un de mes poignet. Une lame d’aire qui se dissipa sur le champs. Ne voulant accepté la vérité, ne voulant me croire je suis repartie, après avoir fait une tombe descente a ces créature que je venais d’éviscéré sans al moindre idée de se que je faisais. Traversant les plaines des pacifique, je découvrire avec curiosité les moutons. Puis se demanda se que sa donnai grillé, et oui, j’était un estomac sur pattes a l’époque. J’en attrapa un qui ne se débâtie même pas, et je le dévora crue, après avoir retiré sa laine qui me gênais. J’ai tout de suite adoré, cette nourriture semblais beaucoup plus mettre adopté, du moins je la digérais sans difficulté, que sa sois diharé ou vomissement, j’avais passé enfin un repas complet sans vomir depuis un long moment. J’erat donc dans les plaines guidé par les étoile, et une brise légère qui susurrais a mon oreille des instruction pour survivre . quelque chose de nostalgique m’habitais, oui, je me sentais retourné vers se qui semblais ma véritable maison. Une nuit je m’endormit au milieu des plaines, trop fatigué, je n’avais pas aperçus se qui m’entendais a mon réveille, car quand je me leva, réveillé par le soleil, dans les rayon puissant de celui-ci j’aperçu une infinité d’éclat blanc qui était en réalité Warfang, la cité des dragons. Je m’en suis approché, si petit que j’était, j’aperçus la porte doré fortifier, mais, je me suis dit que c’était une mauvaise idée, alors j’ai contourné le rempart, et découvrit un petit tunnel qui mena a travers la montagne directement dans la cité, je ne voulais pas me faire remarqué, et je découvrit donc avec stupeur l’intérieur de la cité blanche.

Se fut donc un tout jeune Zéphyr qui entra dans warfang. A cette époque je n’avais pas encore de noms, les atlawa l’appelle « dragon » ou esprit gardien. Car il avais l’habitude d’aidé les autres, et était un dragon. Mais sa il l’ignorais qu’il était un dragon, il était quelque chose, mais quoi ? il n’en savais rien. Entrant par se petit tunnel dans la montagne dos a Warfang, il se laissa guidé par ces sensation, se dirigeant a l’aveuglette au travers des grotte, suivant un courant d’aire plus frais que l’autres. Sûrement celui de la sortie. Et quel fut sa surprise, quand a la sortie il se retrouva dans une petit ruelle abandonné de Warfang, ou silence et calme régnais, mais d’ou on avais une vue imprenable sur la ville. Découvrant avec stupeur les bâtiment de marbres blanc, l’immense palais blanc également. Il n’osa pas trop sortir des ruelle pour son premier jours, je dit il, car je me rend compte que je ne ressemble plus du tout a se petit dragon. A l’époque, j’entrain a peine a mon âge de raison, enfin passons. Je visitais donc Warfang, a travers les toit et les ruelles, découvrant la population local, des taupes, et de grande créature écailleuse, bien plus grande et musclé que moi. M’avais donc ton prit pour une de ces fier créature ? oui, car même si je me sentais grand, je n’étais qu’un enfant encore, aujourd’hui je leurs ressemble, comme je ressemble a n’importe quel autre membre de ma race. Je visitais donc warfang, mais rapidement, une boule se forma dans ma gorge, oui, je voyais des dragonneau comme moi, mais eux, avais des parent qui les chouchoutais, des grand frère qui les taquinais, une mère qui les aimais, un père qui leurs apprenaient. Quoi de plus démoralisants sur le coup pour un dragon, qui pour seul famille n’a jamais eu qu’un peuple ne faisans qu’un avec la nature ? mais quelque chose d’ardent se réveilla en moi a se moment, j’avais décidé de me faire accepté quoi qu’il m’en coûte. J’essaya donc, au premier abord, d’allez rejoindre les dragonneau dans leurs jeux. Dans un premier temps, il m’acceptèrent, et il m’apprirent un peux se qu’était leurs vie. J’ai apprit plus tard que c’était les vacances scolaire, et qu’il m’avais prit pour un nouvel élève de leurs classe. Et je l’apprit douloureusement, d’abord, plusieurs soir ou je ne vie personne, car il était tous en cours. Puis a leurs retour, dans la fin de semaine, certain d’entre eux mon traîné dans une ruelle abandonné, et me frappèrent violemment, orphelins, détritus et autres amabilité me fut donné. A se moment la j’eu une nouvel transe, je croyais vraiment que j’allais me faire tué a nouveau, et je me réveilla le lendemain matin sur un toit de la ville, avec juste la douleurs, plus de blessure. J’apprit plus tard, qu’une tornade avais prit naissance la ou je me trouvais et avais envoyé a l’hôpital en soin intensif les jeune qui m’avais attaqué, mais il n’y avais aucune trace de la création, car mon vent protecteur m’avais amené sur un toi, et un jours était passé depuis, j’avais récupéré. Comprenant que les jeunes élevé avec amour ne pouvais pas me voir, je me replia donc a nouveau dans les ruelles . chassants des mouton a l’extérieur de la ville, entrants et sortant grâce a se tunnel qu’utilisais les clan félins pour rejoindre warfang en temps de crise. Mais un jours, la tribu qui élevais ces moutons en avais assez de mes vole, et Warfang accepta donc de scellé les tunnel, ne laissant qu’une seul entré et sortie, de avalar a la cité blanche. Je me retrouva prisonnier de Warfang. Il n’y avais aucun autre orphelin apparemment, aucun en tout cas n’osais le dire, et je me retrouva a nouveau seul. Mon habitation, c’était un tonneau éventré que j’avais plus ou moins bien reconstruit. N’arrivant pas a récupéré d’autre chose utile pour faire une tanière digne de se noms, je me contentais d’un toit, qui ne me protègerais qu’a mortier de la pluie et du froid. Les jours passais, la famine revenais, et les voix aussi, un jours de marché, isolé sur un toit, le vent me sifflais d’allez me servire, et partir en douce, ne pas respecté les règle, survivre , oui survivre, c’est tout se que je devais faire. Mon premier vole, un simple morceau de pain, mais rien que sa , j’ai eu l’impression que la moitié de la garde de la ville me tomba sur le dos. Moi qui était maladroit comme 6 en temps normal ,je me voyais déjà en prison, mais étrangement, le stresse continue et se que j’ai du enduré, m’avais un peux formé a se genre de situation. Je me croyais maladroit comparé au clan des atlawa, mais qu’aurait ils donc dit en voyant les garde de warfang ? passants entre leurs pattes, les utilisant eux même pour esquivé leurs attaque , j’était comme un animal en cavale, je volais au dessus des loi, mais sa ne m’importais peux, pour survivre, il fallais se nourrire, et pour se nourrire j’ai du volé, alors pour moi, je ne ressentais aucune honte a mon geste. Après de longue heurs de course poursuite, ou je tournais en ridicule les garde, en improvisant plus qu’autre chose mes esquive, je finit par les sauvé, en rigolant, je reprenais goût a la vie, tourné ces dragon en ridicule en publique juste en voulant me nourrire, c’était la meilleur de ma vie jusqu'à présent. Je reprit donc régulièrement se qu’il me plaisais, en passant de bonne heurs a rire de faire trébuché les garde, les faire tombé des toit, ou tout simplement me joué d’eux. Mais plus le temps passais, plus on me détestais, plus on m’était des garde pour m’arrêté…… et plus je m’amusais. J’était un peux la bête noir de Warfang, un jeune orphelins qui volais au grand jours toute la nourriture qui lui plaisais, si mon père savais sa, je lui ferais sûrement honte. A supposé qu’il est quelque chose a faire de moi, puisque j’ai été abandonné lâchement sur une montagne. Enfin, je ne sais toujours pas qui sais, alors peut importe reprenons. Je continuais mes vole , mais la guerre éclata, enfin s’intensifia avec le retour de Cynder, et la chute du temple des quatre gardien des élément. Des orphelins comme moi a mon arrivé dans warfang, des enfant ne sachant rien faire, et n’étant pas guidé par quelqu’un. J’était la bête noir de warfang, on me disais cruel, sadique et immorale, j’était juste un enfant perdu qui voulais se faire remarqué et survivre. Un enfant ? non plus a l’époque, je començais a devenir adolescent, et plus les garde de la cité innovais pour me capturé, plus je devenais fort. Sans m’en rendre compte, en réalité, c’était comme si j’avais passé tout ma vie a être formé, sauf que ma version était bien plus sauvage et brutal qu la moyen des dragons. Mais devant le regard désespéré des orphelins, je ne pouvais pas les laissé comme ça, et je partageais le butin de mes voles avec eux. Mais un jours, se fut le drame, un des garde avais réussit a me suivre, et avais trouvé quelque un de mes protéges en train de se nourrire de se que je volais. Il allais leurs reprendre, par la force, assez énervé de mes mauvais tour pour ne plus être affecté par la miser des petit. Mais il n’en eu pas le temps, encore une fois, la voix dans le vent me guida. M’avertissant du danger, je sautais du haut d’un toi, et j’ai plaqué violemment se dragon au sol. Je ne savais pas contrôlé ma force, j’ignorais être fort, et sans le vouloir, sur le coup je lui est démit le dos, il tomba raide paralysé au sol. D’autres gardes plus calme arrivèrent, et voyant la scène, des orphelin terrorisé, un adolescent croyant avoir tué un dragon, un de leurs semblable raide mort. Je me fit arrêté, non, je me laissa capturé, contre la promesse de laissé mes protégé en paix. Après plusieurs jours d’enfermement, ou je n’essayais même pas de m’enfuir, on m’apprit que le soldat allais bien, que je ne l’avais pas tué. Puis on m’emmena devant le chef de la garde de la ville. Celui-ci, me proposa quelque chose d’étrange. Car, il voulais pour que je me rachète, que j’intègre la garde de la ville, j’était cinglé anti-conformiste, peux obéissants, mais très fort. Je refusa, ne voulant pour rien au monde laissé ma liberté d’action au autres. Alors, il me proposa autres chose.

« très bien, alors faisons un parie. Dans ma famille, pour devenir un adulte, les enfant font un long voyage……… je te parie ta liberté que tu est pas capable de faire le tour du monde. »

idée grotesque certes, mais intéressant. J’acceptais donc, mais avant de partir, je rejoignit tout mes protégé, en leurs confient mes secret pour survivre, et puis, se fut sans rien que je partie de warfang par la grande porte, en me disant que dans plusieurs année je reviendrais par de l’autre côté, et j’entrerais a nouveau dans Warfang triomphant et libre.

Et voila le début de mon voyage. j'avais dit a mes protégé de pas s'inquiète et avais apprit au ainé a volé et a défendre les plus petit quand il le devrais. mais également que la vitesse et la discrétion était leurs meilleur atout ici. en faite, la ville, c'était un peux comme les grande montagne des atlawa, juste que la majorité des habitent était souple comme des élémentaire de roche. Il devenais assez aisé a les distancé quand on avais apprit les secret de se peuple vivants en haute montagne. C'était donc le cœur bien léger que j'avais put partir dans mon expédition de globe trotteur, mon expédition autour de la planèt.


Je me rappelais rapidement des carte que j'avais aperçus lors de mes vol chez certain marchand vendant de tout. au nord les terre cendre, domaine de malefors, a évité donc. je venais de l'est par la vallée des atlawa dans les haute montagne, il valais mieux évité de commencé par la, de peur que ma tribu devine les embrouille ou je m'était fourré. je prit donc le chemins de l'ouest, direction droit sur avalar, puis au delà, les monde oublier. Mais mon périple ne dura pas très longtemps,car a peine ma premier journée de voyage accomplit, que j'avais trouvé un endroit pour m'abriter. quelque chose, comme un énorme coup de massue sur mon crane, me sonna, se n'était pas une attaque, mais un souvenir qui essayais de percé les embrun opaque qui voilais mes origine. Car dans cette grotte, un message venais de frappé dans mon cerveau, alors que je m'endormais doucement, une odeur, non un parfum très apaisant et trop familière m'avais atteins. Forçant ainsi le passage de mes quelque souvenir de se qui m'entourais quand j'étais dragonneau, cette odeur, je l'avais sentie auparavant, sur la coquille de mon œuf, je l'avais attribué a une odeur maternel. pourquoi m'apparaissait elle que maintenant? je découvrit que mon abri avais déjà servit il y a un peux de temps. l'odeur était si légère que sa devais faire plus de une semaine, mais sa prouvais que j'avais une mère, et qu'elle était vivante, du moins il y a peux.

mais pour l'heur je préférais ignoré sa, je.... sa me troublais tant que j'ai préféré m'endormir en ignorant cette odeur, mais je me surprit a chantonné a se moment, une berceuse qui me sortais de nul part, mais m'apaisais et je m'endormit en souriant me sentent serein. et je fut une nuit complète et sans rêve, qui me reposa pour le long voyage qui m'attendais encore a présent. oui le lendemain je reprit la route sans plus pensé a se qui m'était arrivé avant, je voyageais librement profitant d'une douce brise soufflant dans la bonne direction pour me laissé plané un long moment. Je voyageais sans m'épuise lorsque je remarquai des grand singe en train d'attaquer des nomade d'un clans félins. j'en avais entendu parlé a Warfang, les grand singe servais le mal, et causais des souci. avant que la situation ne dégénère, je me posais entre les deux groupe, et étonné de mois même, déployant mes ailes net pour paraitre plus impressionnant, le geste s'accompagna d'une bourrasque faisans reculé les deux groupe. c'était pas tout a fait normal, mais qu'importe, je ne voulais pas qu'il y est de mort, surtout devant mes yeux, en sauvant les autres, c'était un moyen de se faire respecté, comme tout les petit orphelins que j'avais sauvé m'aimais, si j'aide des inconnus peut-être serais je mieux accueillit. les singe voyant un dragon devant eux m'attaquèrent directement, encore une fois se fut une épreuve d'habilitée que je réussit amplement, repoussants mes ennemis sans difficulté, et les tailladant de la lame sur ma queue assez simplement. je ne contrôlais pas encore mes pouvoirs a l'époque, mais niveau improvisation et combat rapproché je me débrouillais, tant qu'on me blésais pas. le combats se termina par une lame d'aire qui sortie de elle même de ma gueule tranchant net la tête du chef de groupe. sa je l'avais pas voulut mais mes agresseur prirent la fuite. et donc se fut ma première rencontre avec un clan félins, j'avais le temps de leurs parlé a présent.